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Les grands Témoins de la foi

108,90 €
TTC

Venez découvrir, ou redécouvrir tous ces héros de la foi.
Exposition en 8 affiches

Support : 0,50 x 0,70 m (EXPO PAPIER)
lot-series : EXPO 8 affiches
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Disponible

Ces grands Témoins de la foi nous redisent l'Evangile vécue en acte et en vérité.

Anjezë (Agnès) Gonxha Bojaxhiu, dite Mère Teresa, née le à Usküb, Empire ottoman (actuellement Skopje, Macédoine), et morte le à Calcutta, Inde, est une religieuse catholique albanaise, de nationalité indienne, surtout connue pour son action personnelle caritative et la fondation d'une congrégation de religieuses, les Missionnaires de la Charité qui l'accompagnent et suivent son exemple. D'abord religieuse de l'ordre missionnaire des soeurs de Notre-Dame de Lorette (dès 1929), elle quitte cette communauté en 1949 pour « suivre son appel » puis fonder sa propre congrégation en 1950. Son oeuvre auprès des plus démunis commence par l'éducation des enfants des rues et l'ouverture du mouroir de Kalighat (Nirmal Hriday) à Calcutta. Pendant plus de 40 ans, elle consacre sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants, d'abord en Inde puis dans d'autres pays, et elle guide le développement des Missionnaires de la Charité. Au moment de sa mort, ceux-ci s'occupent de 610 missions, dans 123 pays, incluant des soupes populaires, des centres d'aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices et des maisons d'accueil pour les personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose. Perçue comme un modèle de bonté et d'altruisme, elle est régulièrement évoquée dans la presse indienne et occidentale pendant la deuxième moitié du xxe siècle. Cependant, certains intellectuels comme Christopher Hitchens remettent en cause l'ensemble de cette réputation. Mère Teresa est béatifiée le 19 octobre 2003, à Rome, par le pape Jean-Paul II.

 

Jean-Marie Vianney naît à Dardilly, près de Lyon, le 8 mai 1786. Ses parents sont des paysans à la foi solide. Il apprend de sa mère la vie chrétienne et montre très jeune un vif intérêt pour le Seigneur et la Vierge Marie. A neuf ans il va à l’école à Dardilly mais y reste très peu car il est plus utile au travail agricole. Profondément marqué par la révolution, le petit Jean-Marie fait sa première communion et première confession clandestinement.

A dix-sept ans il exprime son désir de devenir prêtre, sa mère est très heureuse mais son père ne peut s’y résoudre car son travail est nécessaire à la ferme. Après deux ans, le père Vianney accepte mais Jean-Marie n’a pas l’instruction nécessaire pour entrer au séminaire. L’abbé Balley, curé d'Ecully, prend le jeune homme sous sa protection et grâce à lui il peut commencer sa formation. Tout au long de ses études, le jeune Jean-Marie est pieux, humble et animé d’un grand esprit de pénitence, en revanche il éprouve beaucoup de difficultés scolaires notamment pour mémoriser le latin. Il entreprend un pèlerinage à La Louvesc au tombeau de saint Jean-François Régis, et y reçoit la grâce de pouvoir finir ses études. En 1807, il reçoit la confirmation et prend pour patron saint Jean-Baptiste. En 1809, Jean-Marie est réquisitionné pour rejoindre l’armée napoléonienne, cependant grâce à un concours de circonstances il ne pourra se rendre au front. En 1811 il reçoit la tonsure et part pour le petit séminaire de Verrières.

Il est ordonné prêtre le 13 août 1815 à 29 ans et nommé vicaire à Écully. En 1818, l’évêque le nomme curé à Ars, il se met immédiatement à sa tâche : convertir ses paroissiens et les ramener à une vie sainte. Le curé d’Ars n’aura de cesse de rappeler ses fidèles à l’ordre, les invitant constamment à rejeter le péché. Il est connu pour ses sermons sévères et cela lui vaut d’être calomnié et persécuté. Pourtant à Ars la paroisse est tout à fait renouvelée. Le saint prêtre fonde dans le village une école puis un orphelinat nommé la « Providence », plusieurs miracles s’y produisent.

Alors qu’il vit extrêmement pauvrement, le curé d’Ars a souci d’embellir son église par des rénovations et décorations. Il met tous ses soins à la célébration de la messe et Ars est réputée pour la beauté de ses offices, les processions de la Fête-Dieu ont un éclat exceptionnel. Pendant trente ans, le curé Vianney reçoit des attaques directes du diable qu’il appelle le « grappin ». A la fin de sa vie, les foules affluent à Ars, on compte jusqu’à 120 000 personnes par an. Le rayonnement de celui qu’on appelle déjà le saint grandit, les nombreux voyageurs désirent se confesser au père Vianney qui passe jusqu’à quinze heures dans son confessionnal. Comme saint Padre Pio, il était connu pour avoir le don de lire dans les âmes. Il obtient beaucoup de miracles par l’intermédiaire de sainte Philomène, « sa petite sainte ».Après avoir travaillé sans relâche plus de quarante ans, mangeant et dormant extrêmement peu, il meurt le 4 août 1859 à Ars-sur-Formans.

 

Charles de Foucauld (Frère Charles de Jésus) naquit à Strasbourg, en France, le 15 septembre 1858. Orphelin à six ans, il fut élevé, avec sa soeur Marie, par son grand-père, dont il suivit les déplacements dus à sa carrière militaire.

Adolescent, il s'éloigna de la foi. Connu pour son goût de la vie facile, il révéla cependant une volonté forte et constante dans les difficultés. Il entreprit une périlleuse exploration au Maroc (1883-1884). Le témoignage de la foi des musulmans réveilla en lui la question de Dieu:  "Mon Dieu, si vous existez, faites que je vous connaisse".

De retour en France, touché par l'accueil affectueux et discret de sa famille profondément chrétienne, il se mit en quête. Guidé par un prêtre, l'abbé Huvelin, il retrouva Dieu en octobre 1886. Il avait 28 ans. "Aussitôt que je crus qu'il y avait un Dieu, je compris que je ne pouvais faire autrement que de ne vivre que pour lui".

Un pèlerinage en Terre Sainte lui révéla sa vocation:  suivre Jésus dans sa vie de Nazareth. Il passa sept années à la Trappe, d'abord à Notre-Dame des Neiges, puis à Akbès, en Syrie. Il vécut ensuite seul dans la prière et l'adoration près des Clarisses de Nazareth.

Ordonné prêtre à 43 ans (1901), il partit au Sahara, d'abord à Beni-Abbès, puis à Tamanrasset parmi les Touaregs du Hoggar. Il voulait rejoindre ceux qui étaient le plus loin, "les plus délaissés, les plus abandonnés". Il voulait que chacun de ceux qui l'approchaient le considère comme un frère, "le frère universel". Il voulait "crier l'Évangile par toute sa vie" dans un grand respect de la culture et de la foi de ceux au milieu desquels il vivait. "Je voudrais être assez bon pour qu'on dise:  Si tel est le serviteur, comment donc est le Maître?".

Le soir du 1 décembre 1916, il fut tué pas une bande qui avait encerclé sa maison.

Il avait toujours rêvé de partager sa vocation avec d'autres:  après avoir écrit plusieurs règles religieuses, il pensa que cette "vie de Nazareth" pouvait être vécue partout et par tous. Aujourd'hui, la "famille spirituelle de Charles de Foucauld" comprend plusieurs associations de fidèles, des communautés religieuses et des instituts séculiers de laïcs ou de prêtres.

Bernadette Soubirous est née à Lourdes, alors petite ville des Pyrénées, le 7 janvier 1844 dans une famille de meuniers. Le 11 février 1858, Bernadette Soubirous, âgée de 14 ans, part du Cachot avec sa sœur et une amie pour aller chercher du bois mort au bord du Gave, à Massabielle. Dans le creux du rocher, Bernadette aperçoit une «dame en blanc»: «Voulez-vous me faire la grâce de venir ici pendant quinze jours». La Vierge Marie vient ainsi à sa rencontre 18 fois entre février et juillet. Au milieu de la quinzaine, le 24 et le 25 février, Bernadette reçoit un message «Priez pour les pécheurs », et la Dame lui demande «d’aller boire à la fontaine et de s’y laver»… Après avoir gratté la terre boueuse au fond de la Grotte, Bernadette découvre une source.

À travers ces rencontres surprenantes, Bernadette Soubirous comprend, grâce à Marie, que Dieu s’intéresse à elle, qu’il se fait proche des plus pauvres. Pendant toute cette période, Bernadette ne se laisse pas intimider, elle reste simple et libre. 

À l’âge de 22 ans, Bernadette entre chez les sœurs de la charité à Nevers, et au cours de ces treize années elle sera successivement aide-infirmière, responsable de l’infirmerie, sacristine et le plus souvent malade elle-même. Bernadette a un caractère joyeux, elle est disponible à ce qu’on lui demande. «Je ne vivrai pas un instant que je ne le passe en aimant», écrit-elle.

Elle fait de longs séjours à l’infirmerie car elle est atteinte d’une tumeur à un genou et d’une tuberculose pulmonaire qui la font beaucoup souffrir. Elle meurt le 16 avril 1879, à 35 ans. Elle est inhumée dans la chapelle Saint Joseph au milieu du jardin. Elle sera canonisée, déclarée sainte le 8 décembre 1933.

Frédéric Ozanam naît en 1813 à Milan dans une famille frappée par de nombreux décès : sur onze enfants, seulement trois vivront. Sa famille s’installe en 1816 à Lyon, où Frédéric reçoit une éducation chrétienne et accompagne régulièrement sa mère qui va porter secours à des familles dans le besoin. Son père, lui, est médecin à l’Hôtel-Dieu de 1818 à 1834 ; la famille habite rue Pizay.

Ozanam fait ses études au Collège royal de Lyon (futur lycée Ampère) : c’est un élève brillant, mais vers l’âge de quinze ans, il connaît une douloureuse période de doute et songe même au suicide. L’enseignement de son professeur de philosophie, l’abbé Noirot, le sauve : « Je crus désormais d’une foi assurée et, touché d’un bienfait si rare, je promis à Dieu de vouer mes jours au service de la vérité qui me donnait la paix. » Ce n’est pas une promesse en l’air : dès lors, le jeune homme prépare un immense ouvrage apologétique qu’il propose d’intituler  « Démonstration de la vérité de la religion catholique » auquel il travaillera toute sa vie. Il s’essaie parallèlement au journalisme dans L’Abeille française, le journal de l’abbé Noirot ; il publie également ses Réflexions sur la doctrine de Saint-Simon suite aux émeutes ouvrières qui secouent Lyon en 1831.

Edmond Michelet, né le 8 octobre 1899, résistant dès le 17 juin 1940, est déporté au camp de Dachau de septembre 1943 à mai 1945.
Il est ministre des armées de novembre 1945 à décembre 1946 dans les gouvernements dirigés successivement par le général de Gaulle, Félix Gouin et Georges Bidault.
Député M.R.P. puis R.P.F. de la Corrèze de 1946 à 1951, il est sénateur R.P.F. puis républicain-social de la Seine de 1952 à 1958 et milite ardemment pour le retour au pouvoir du général de Gaulle.
Ministre des anciens combattants dans le dernier ministère de la IVe République, dirigé par le général de Gaulle, il est ministre de la Justice de janvier 1959 à août 1961, en plein drame algérien. Au conseil constitutionnel de 1962 à 1967, il est élu député du Finistère en mars 1967 et prend le portefeuille de la Fonction publique dans le gouvernement Pompidou constitué le 7 avril 1967.
Réélu député du Finistère en juillet 1968, il soutient la candidature de Georges Pompidou à l'élection présidentielle de juin 1969 et devient ministre d'Etat chargé des Affaires culturelles dans le cabinet Chaban-Delmas. C'est dans ces fonctions qu'il décède le 9 octobre 1970.
La cause de béatification d'Edmond Michelet a été introduite dans le diocèse de Tulle en raison de son comportement admirable à Dachau.
Quel homme public Edmond Michelet a-t-il été après la seconde guerre mondiale ? C'est à cette question qui en soulève de nombreuses autres que tente de répondre ce petit livre. 
Sixième enfant et deuxième fils du général André Zeller condamné en mai 1961 à 15 ans de détention criminelle pour sa participation au coup d'Alger du 22 avril 1961, Bernard Zeller a effectué l'essentiel de ses études au Prytanée National Militaire de La Flèche durant les années de détention de son père à la prison de Tulle. Polytechnicien, ingénieur en chef de l 'Armement (Re), père de trois enfants, il est actuellement dirigeant d'une entreprise industrielle.

 

LA VIE DE S.THÉRÈSE DE LISIEUX

THÉRÈSE MARTIN naquit à Alençon, en France, le 2 janvier 1873. Elle fut baptisée deux jours plus tard en l'église Notre-Dame, recevant les noms de Marie Françoise Thérèse. Ses parents étaient Louis Martin et Zélie Guérin. Après la mort de sa mère, le 28 août 1877, Thérèse s'installa avec toute sa famille à Lisieux.

Vers la fin de 1879, elle s'approche pour la première fois du sacrement de la Pénitence. Le jour de la Pentecôte 1883, elle reçoit la grâce insigne de la guérison d'une grave maladie, par l'intercession de Notre-Dame des Victoires. Formée par les Bénédictines de Lisieux, elle fait sa première communion le 8 mai 1884, après une préparation intense, couronnée par une expérience très vive de la grâce de l'union intime avec le Christ. Quelques semaines après, le 14 juin de la même année, elle reçoit le sacrement de la confirmation, accueillant en toute conscience le don de l'Esprit Saint dans une participation personnelle à la grâce de la Pentecôte.

Elle avait le désir d'entrer dans la vie contemplative, comme ses soeurs Pauline et Marie, au Carmel de Lisieux, mais son jeune âge l'en empêchait. Pendant un voyage en Italie, après avoir visité la Maison de Lorette et la Ville éternelle, au cours de l'audience accordée par le Pape aux pèlerins du diocèse de Lisieux le 20 novembre 1887, elle demanda à Léon XIII avec une audace filiale de pouvoir entrer au Carmel à l'âge de quinze ans.

Le 9 avril 1888, elle entra au Carmel de Lisieux. Elle prit l'habit le 10 janvier de l'année suivante et fit sa profession religieuse le 8 septembre 1890, en la fête de la Nativité de la Vierge Marie.

Au Carmel, elle s'engage sur le chemin de perfection tracé par la Mère fondatrice, Thérèse de Jésus, avec une ferveur et une fidélité authentiques, par l'accomplissement des divers services communautaires qui lui sont confiés. Éclairée par la Parole de Dieu, éprouvée très vivement par la maladie de son père bien-aimé, Louis Martin, qui meurt le 29 juillet 1894, elle avance vers la sainteté, inspirée par la lecture de l'Évangile, plaçant au centre de tout l'amour. Dans ses manuscrits autobiographiques, Thérèse nous a laissé non seulement les souvenirs de son enfance et de son adolescence, mais aussi le portrait de son âme, la description de ses expériences les plus intimes. Elle découvre et communique aux novices qui lui sont confiées la petite voie de l'enfance spirituelle; elle reçoit comme un don spécial la charge d'accompagner par le sacrifice et la prière deux « frères missionnaires ». Elle pénètre toujours plus le mystère de l'Église et sent croître en elle sa vocation apostolique et missionnaire, pour attirer tout le monde à sa suite, saisie par l'amour du Christ, son unique Époux.

Le 9 juin 1895, en la fête de la Très Sainte Trinité, elle s'offre en victime d'holocauste à l'Amour miséricordieux de Dieu. Elle rédige alors le premier manuscrit autobiographique qu'elle remet à Mère Agnès le jour de sa fête, le 21 janvier 1896.

Quelques mois après, le 3 avril, dans la nuit entre le jeudi et le vendredi saints, elle souffre d'une hémoptysie, première manifestation de la maladie qui la conduira à sa mort et qu'elle accueille comme une mystérieuse visite de l'Époux divin. Elle entre alors dans une épreuve de la foi qui durera jusqu'à sa mort et dont elle donnera un témoignage bouleversant dans ses écrits. Au mois de septembre, elle achève le manuscrit B qui illustre de manière impressionnante la maturité dans la sainteté à laquelle elle est parvenue, en particulier par la découverte de sa vocation au coeur de l'Eglise.

Alors que sa santé se dégrade et que le temps de l'épreuve se poursuit, elle commence au mois de juin le manuscrit C dédié à Mère Marie de Gonzague; de nouvelles grâces l'amènent à une plus haute perfection et elle découvre de nouvelles lumières pour la diffusion de son message dans l'Église au profit des âmes qui suivront sa voie. Le 8 juillet, elle est transférée à l'infirmerie. Ses soeurs et d'autres religieuses recueillent ses paroles, tandis que s'intensifient ses souffrances et ses épreuves, supportées avec patience, jusqu'à sa mort dans l'après-midi du 30 septembre 1897. «Je ne meurs pas, j'entre dans la vie», avait-elle écrit à son frère spirituel missionnaire, l'Abbé M. Bellier. Ses dernières paroles, « Mon Dieu..., je vous aime!», scellent une existence qui s'éteint sur la terre à l'âge de vingt-quatre ans pour entrer, suivant son désir, dans une phase nouvelle de présence apostolique en faveur des âmes, dans la communion des saints, pour répandre une pluie de roses sur le monde.

Elle fut canonisée par Pie XI le 17 mai 1925 et proclamée Patronne universelle des missions, en même temps que saint François Xavier, par le même Pape, le 14 décembre 1927.

Sa doctrine et son exemple de sainteté ont été reçus par toutes les catégories de fidèles de ce siècle avec un grand enthousiasme, et aussi en dehors de l'Église catholique et du christianisme.

De nombreuses Conférences épiscopales, à l'occasion du centenaire de sa mort, ont demandé au Pape qu'elle soit proclamée Docteur de l'Église, à cause de la solidité de sa sagesse spirituelle, inspirée par l'Évangile, à cause de l'originalité de ses intuitions théologiques où brille sa doctrine éminente, et à cause de l' universalité de la réception de son message spirituel, accueilli dans le monde entier et diffusé par la traduction de ses oeuvres dans une cinquantaine de langues.

Accueillant ces requêtes, le Saint-Père Jean-Paul II a voulu que soit étudiée l'opportunité de déclarer Thérèse de Lisieux Docteur de l'Église universelle par la Congrégation pour les Causes des Saints, compétente en la matière, avec l'avis de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi en ce qui concerne sa doctrine éminente. Le 24 août, au terme de la célébration eucharistique de la XII Journée mondiale de la Jeunesse à Paris, en présence de centaines d'Évêques et devant une immense foule de jeunes du monde entier, Jean-Paul II a annoncé son intention de proclamer Thérèse de l'Enfant-Jésus et de la Sainte-Face Docteur de l'Église universelle le 19 octobre 1997, le dimanche où l'on célèbre la Journée mondiale des Missions.

EX13-0023

Fiche technique

Nombre d'affiches par exposition
8
Hauteur
100
Largeur
70

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