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Le Saint Suaire Scientifique sur le Linceul de Turin

99,80 €
TTC

Toutes les preuves indéniables du passage de Jésus Christ.
Exposition de 7 affiches

Support : 0,50 x 0,70 m (EXPO PAPIER)
lot-series : EXPO 7 affiches
Quantité
Disponible

EXPOSITION LINCEUL DE TURIN SCIENTIFIQUE (7 affiches)

1 De quoi s’agit-il ?

Une image étrange sur un tissu d'ensevelissement : Une sérieuse anomalie

Il s’agit d’un tissu cher et honorifique tout à fait anormal pour un crucifié qui a subi le « supplice infâmant » de la croix et qui était destiné à la fosse commune, sans linceul.

■ Le tissage, très coûteux, a été réalisé sur un métier à 4 harnais, existant au Moyen Orient aux premiers siècles, mais pas encore en Europe.

■ La couture de la bande supérieure est très particulière ; elle n’existe sur aucun tissu ancien provenant d’Europe. Mais on en a trouvé sur des restes de tissus, lors des fouilles de la forteresse de Massada, près de la Mer Morte. Or, cette forteresse a été détruite par les Romains en l’an 73.

On voit aussi des traces parasites

■ Deux lignes de brûlures, provenant d’un incendie, à Chambéry en 1532, avec des rapiècements triangulaires, décousus en 2002 pour une restauration.

■ Des auréoles d’eau : dues probablement à un pliage « en accordéon » dans une urne au fond humide.

■ Des petits trous en forme de « L » qu’on verra reproduits sur un très vieux manuscrit de 1195 donnant une date bien antérieure à celle qu'a avancée le Carbone 14.

■ Sur ce tissu de lin, tissé en chevrons, de 4,40 m x 1,10 m, on peut deviner, entre deux lignes de brûlures accidentelles, le décalque très léger d'un corps d'homme, face et dos, supplicié et nu (image corporelle), qui a laissé sur le tissu des traces de sang (image sanguine). On peut deviner une bande latérale supérieure de 7 cm de large recousue avec une extrême minutie.

2 Une image qui se révèle progressivement et ne cesse de surprendre

■ L’image corporelle est en négatif

■ En 1898, Secundo Pia réalise la première photo du Linceul et reste « pétrifié » devant son négatif qui est une véritable révélation : notons bien que « l’image corporelle » et « l’image sanguine » réagissent à l’inverse.

■ L’image corporelle est tridimensionnelle

■ En 1931, Enrie améliore encore le négatif.

■ En 1974, Paul Gastineau met en évidence la tridimensionnalité de l'image et grave un bas-relief du Visage.

■ En 1976, en utilisant l’analyseur d’images VP8 de la NASA les Américains Jackson et Jumper découvrent le relief du corps entier.

■ En 1997, le photographe italien Aldo Guerreschi superpose un négatif sur un positif avec un léger décalage et obtient aussi un effet de relief.

■ En 2012, Thierry Castex, spécialiste en traitement d'image perfectionne encore le traitement 3D.

3 Une image qui interroge les scientifiques

Comment le corps est-il sorti du Linceul ?

■ Sur les fibres grossies au microscope, on ne relève aucune trace d’arrachement des fibres là où le sang avait nécessairement adhéré au tissu.

■ Par ailleurs, le Linceul ne recèle aucune trace de putréfaction ; ce qui est anormal pour un cadavre resté enfermé dans un tissu pendant un certain temps.

En 1978 , Une équipe de 33 chercheurs du STURP (Shroud of Turin Research Project) vient spécialement à Turin pour 120 h d’expertises diverses, et conclue :

■ que l’image sanguine provient bien de sang humain, resté rouge à cause de la sécrétion de bilirubine. Elle traverse le tissu.

■ que l’image corporelle (dont toutes les fibres ont la même couleur sépia) est superficielle, de quelques microns d'épaisseur, et ne traverse pas le tissu.

■ qu’elle n’est en aucun cas une peinture (ni liant, ni pigment, ni traces de pinceau).Elle provient d’une oxydation acide déshydratante des fibres du tissu.

■ et que l’image du corps, sans déformations, ne vient pas d’un contact direct avec le corps, mais d’une projection orthogonale.

Des petites poussières qui parlent....

En 1973, l’étude des pollens, par Max Frei, de l'Institut de Criminologie de Zurich, montre que le Linceul a séjourné :

■ En Palestine (Jérusalem et Mer Morte) ;

■ Dans des steppes arides ou désertiques, comme celles de l’Est de la Turquie ;

■ Dans des zones tempérées, comme à Constantinople et en Europe. Malgré la prudence actuelle sur ce sujet, l’abondance d’un des pollens observés semble compatible avec les buissons épineux de Palestine.

4 Le test au C14 peut-il annuler les autres découvertes ?

Qu’a dit le Test au C14 ?

■ En 1988, la datation du tissu au C14, effectuée par 3 laboratoires (Arizona, Oxford et Zurich), indique une coupure du lin entre 1260 et 1390. Malgré des résultats corrects obtenus sur trois autres tissus-témoins, les résultats obtenus pour le Linceul ne sont pas cohérents : 104 ans d’écart entre Oxford et Arizona - niveau de confiance global 5 % (cf. Revue « Nature » 1989).

■ À ce jour, seul un enrichissement initial en C 14 permettrait d’expliquer cette datation, qui est contredite par toutes les autres recherches (scientifiques et historiques).

La réponse du biophysicien

■ Actuellement, seul le modèle de J.-B. Rinaudo (biophysicien - Université de Montpellier), basé sur la rupture éventuelle des atomes de deutérium du corps du supplicié, permettrait de répondre à la fois :

■ à la formation de l’image, par oxydation acide déshydratante des fibres de lin (par émission des protons, qui produisent la coloration, la faible superficialité, la négativité et la tridimensionnalité) ;

■ au rajeunissement apparent du tissu de treize siècles (par émission des neutrons, de même énergie que les protons, qui auraient interagi avec les atomes d’azote du lin pour produire du C 14 supplémentaire).

Une nouvelle datation

■ Une nouvelle datation (par spectrométrie) a donné cependant une période de fabrication du tissu « au tournant » de l’ère chrétienne (Professeur Giulio Fanti - 2013).

■ Selon la coutume juive, des pièces de monnaie (invisibles à l’oeil nu) ont fermé les paupières du supplicié. Il s’agit de leptons, frappés par Ponce Pilate entre 29 et 32, et d’usage courant en Palestine.

Un faux du Moyen Âge ?

■ Outre le fait que le pape Clément VII a récusé toute allusion à un éventuel faussaire (Bulle officielle de 1390), un artiste du Moyen Âge ne pouvait proposer au public une image du Christ entièrement nu, avec des traces de clous au poignet et non dans la paume de la main, ayant porté une poutre et non une croix entière, en contradiction avec l’iconographie religieuse de son temps.

■ Tenter de tamponner un cadavre, ou même une statue chauffée, comme certains l’ont imaginé, aboutit à un échec, c’est-à-dire à une image totalement déformée et élargie, sans rapport avec cette projection orthogonale qui rend le corps si réaliste.

■ Et comment le faussaire du Moyen-Âge aurait-il su peindre un négatif photographique, avec des détails invisibles à l’oeil nu ? La réponse du Codex Pray (1195) : des détails qui ne trompent pas.

■ Un corps nu

■ Des mains croisées et seulement quatre doigts visibles

■ Les chevrons du tissu

■ Les petits trous en forme de L

■ L'artiste du XIIe siècle a donc vu le Linceul tel qu’on le voit aujourd’hui à Turin. André Marion, un spécialiste d'optique, a pu déceler des inscriptions autour du Visage (surlignées ici, mais invisibles à l’oeil nu) indiquant qu’il s’agit :

■ d’un Nazaréen (NNAZAPENNOS)

■ condamné à mort (INNECE)

■ dénommé Jésus (HSOY)

Les lettres grecques et latines mélangées sont archaïques (1er-2ème s.)

Des icônes qui recopient un modèle unique

■ Le biologiste P. Vignon a mis en évidence, sur le Visage de l’Homme du Linceul, une quinzaine de signes très particuliers (rectangle, triangle, traces de pli du tissu…), qui n’ont aucun intérêt artistique, mais que l’on retrouve sur la plupart des icônes byzantines.

5 Un itinéraire mouvementé

Au Moyen-Orient : une image « non faite de main d’homme »

Dès le IIe s., allusions à la probable conservation du Linceul du Christ (textes apocryphes et Pères de l’Église).  Selon certains textes du IVe s., le roi d’Édesse, Abgar V, contemporain du Christ, aurait été guéri de sa lèpre par une image que lui apportait le disciple Thadée.

525 : Découverte de l’image dans un rempart d’Édesse.

540 : L’image d’Édesse protège la ville. On l’appellera plus tard « le Saint Mandylion ».

944 : Transfert du Mandylion à Constantinople (le 15 août), après un long siège à Édesse

(cf. Manuscrit de Skylitzès - Madrid)

1204 : Disparition du tissu sacré (appelé« Sydoine de Notre Seigneur » par les Francs), lors du pillage de Constantinople (IVe croisade).

1205 : « Le linceul où fut enveloppé après sa mort et avant sa résurrection Notre Seigneur Jésus-Christ » est à Athènes, où il a été emmené par Othon de La Roche, l’un des chefs de la IVe croisade (cf. plainte de Théodore Ange au pape Innocent III).

Brève histoire du Linceul en Europe

1356 : Première exposition, à Lirey (sud de Troyes) par la famille de Charny.

1390 : Autorisation définitive des ostensions par le pape Clément VII (Avignon).

1453 : Don à la famille de Savoie

1466 : Construction de la Sainte Chapelle de Chambéry ; appellation « Saint Suaire ».

1532 : Incendie à Chambéry, qui laisse sur le linge des trous et traces de brûlures.

1578 : Arrivée du Linceul à Turin, où Saint Charles Borromée vient le vénérer. Il y reste définitivement.

1983 : Legs du Linceul au Saint Siège par Umberto II de Savoie, roi d’Italie mort en exil.

1997: Incendie de la cathédrale de Turin : abrité dans un coffre en cristal blindé, le Linceul a pu être sauvé et n’a subi aucun dommage.

2002 : Restauration du Linceul (enlèvement des pièces qui cachaient les parties brûlées, lors de l'incendie de 1532).

6 Que disent les médecins ?

Et que disent les Écritures ?

1 Il a été frappé au visage

L’Homme du Linceul a le visage tuméfié (front, joues, lèvres), et le cartilage du nez est cassé. « Alors ils lui crachèrent au visage et le giflèrent ; d’autres lui donnèrent des coups. » Mt 26, 67 « Ils le frappaient à la tête. » Mt 27, 30

2 Il a été flagellé

L’Homme du Linceul a subi une flagellation très violente sur le dos, qui a entrainé un début de fibrillation cardiaque, d’où une mort prématurée. « J’ai compté au moins 100 coups, peut-être 120. » (Dr. Barbet). Les traces proviennent d’un flagrum, fouet romain dont les lanières se terminaient par des petites boules de plomb ou par des osselets de mouton.

■ « Alors Pilate emmena Jésus et le fit fouetter .» Jn 19, 1

3 Il a été couronné d'épines

La cinquantaine de blessures observées autour de la tête fait penser à un casque d’épines, serré par un jonc tressé. La coulée de sang en forme de 3 provient de la veine frontale et semble avoir été arrêtée par le cercle de joncs. Sur la tempe droite, une autre coulée provient d’une artère saignant en jets saccadés.

■ « Les soldats lui tressèrent une couronne d’épines qu’ils lui mirent sur la tête. » Mt 27, 29  La Sainte Couronne, rachetée par saint Louis en 1238, est conservée à Notre Dame de Paris ; elle ne contient qu’un ensemble de joncs, les épines ayant été toutes distribuées.

4 Il a porté une poutre

Le condamné ne portait en général que le patibulum, la poutre transversale de 40 kg. Des blessures sont visibles sur l’épaule et les omoplates de l’Homme du Linceul, attestant le portement d’un objet lourd. Elles sont superposées aux traces de la flagellation, donc postérieures.

■ « Jésus portant lui-même sa croix sortit et gagna le lieu dit du crâne qu’on nomme Golgotha. » Jn 19, 18

5 Il est tombé

Les genoux portent des excoriations et des traces de terre, identifiées à de l’aragonite, comme il en existe à Jérusalem.

6 Il a été crucifié

Au niveau des mains, le Dr. Barbet a découvert les traces de clous non pas dans la paume, comme sur tous les crucifix, mais à la jonction du poignet, dans l’espace « de Destot ». Cela évite une hémorragie importante mais entraîne la lésion du nerf médian provoquant la rétraction du pouce à l’intérieur. Sur le Linceul, on ne voit que quatre doigts à chaque main. Et ce détail anatomique, totalement inconnu avant les expériences du Dr. Barbet, a été reproduit sur le fameux codex « Pray », daté d’avant 1195.

L’enclouage des deux pieds l’un sur l’autre a été fait par un seul clou, planté dans l’espace dit « de Mérat », sans entraîner non plus une forte hémorragie. Les directions angulaires des écoulements de sang sur les avant-bras (ici sur le négatif) montrent que :

■ en position basse, le condamné s’asphyxiait et devait faire un effort très douloureux pour remonter chercher sa respiration ;

■ en position haute, il était soumis à une douleur tétanisante, et s’affaissait de nouveau.

La couleur rouge vif des taches de sang, qui est encore aujourd’hui fixée sur le tissu, est due à la bilirubine, sécrétion acide du foie exsudée lors de telles souffrances.

■ « Puis ils le crucifièrent, et avec lui deux autres. » Jn 19, 18

7 Il n'a pas eu les jambes brisées

Parce qu’il était déjà mort, l’Homme du Linceul n’a pas eu les jambes brisées. Le grave traumatisme cardiaque dû à la flagellation peut expliquer sa mort prématurée.

■ « Les Juifs, de crainte que les corps ne restent en croix pendant le sabbat, demandèrent à Pilate de leur faire briser les jambes… Arrivés à Jésus, les soldats constatèrent qu’il était déjà mort et ils ne lui brisèrent pas les jambes. » Jn 19, 31

8 Il a eu le coeur transpercé

L’Homme du Linceul a une plaie au côté droit, de la largeur d’un fer de lance romaine. Cette plaie (ici à droite, donc à gauche sur le positif) est restée béante : elle a donc été faite après la mort du supplicié, sinon les lèvres s’en seraient refermées. La lance pénètre dans l’oreillette droite du cœur et libère le sang résiduel. La séparation entre le sang et le sérum, qui n’a lieu qu’après la mort, est visible sur le Linceul.

■ « Mais un des soldats, d’un coup de lance, le frappa au côté, et aussitôt il en sortit du sang et de l’eau. » Jn 19, 34 

7 Et vous, que dites-vous que je suis ?

À ce jour, l’image du Linceul reste donc « provocation à l’intelligence »

St Jean-Paul II

Le Linceul n’est pas un objet de Foi,
il est un SIGNE fort pour tous.

La cohérence et la convergence
des recherches actuelles peut rassurer
la Raison.

Il restera toujours à faire le pas de la Foi,
pour dire, comme St Jean devant
ce linge vide : "Il vit et il crut".

Les recherches se poursuivent…

Qu’en disent-ils ?

« Vénérable linge qui a servi à la sépulture du Christ …

Certainement non fait de main d’homme… c’est à coup

sûr une chose sacrée, comme peut-être nulle autre ».

Pie XI, 1934 – 1936

« Ce Saint Suaire montre l’image du corps inanimé
de Jésus et de son visage divin marqué par la souffrance ».
Pie XII, 1953

« Il y a ici le doigt de Dieu ». St Jean XXIII, 1959

« Le visage du Christ nous est apparu tellement vrai,
tellement profond, tellement humain et divin, que
nous l’avons admiré et vénéré comme aucune image
ne nous avait permis de le faire ». Bx Paul VI, 1973

« L'image qu'il présente a un rapport si profond
avec tout ce que racontent les Évangiles de la Passion
et de la mort de Jésus que tout homme sensible se sent
touché intérieurement et profondément ému
lorsqu'il la contemple ». St Jean Paul II, 1998

« Un visage mystérieux, qui parle silencieusement
au coeur des hommes en les invitant à y reconnaître
le visage de Dieu ». Benoît XVI, 2010

« Cette image parle à notre coeur et nous pousse
à gravir le Mont du Calvaire, à regarder le bois de la Croix,
à nous immerger dans le silence éloquent de l’amour ».
Pape François, 2013

« Plus qu’une image, c’est une Présence !
C’est toute la Passion qu’on nous livre en pleine figure…
Nous sommes en possession de la photographie du Christ !
Comme cela! C’est Lui! C’est Son visage !
Quelque chose de si horrible et de si beau
qu’il n’y a moyen de lui échapper que par l’adoration… ».
Paul Claudel – 1935

« Seigneur montre-nous Ta Face et nous serons sauvés ».
Psaume 80

Le culte de la Sainte Face s’est redéveloppé
dans le monde entier à partir de 1851,
grâce à M. Dupont, le saint homme de Tours,
« le serviteur de la Sainte Face ».

Le mystère de la Sainte Face a été partie
intégrante de la vocation de sainte Thérèse
(Docteur de l’Église depuis 1997) :
« Oui, la Face de Jésus est lumineuse.
Mais si, au milieu des blessures et des larmes,
elle est déjà si belle, que sera-ce donc
quand nous la verrons dans le Ciel ».

Morte en 1897, elle n’a pas
connu la révélation faite par
le négatif de Secondo Pia.
Sa soeur Céline contribuera
à révéler au monde
la Sainte Face, en s’inspirant
du négatif du Linceul
pour réaliser un tableau qui
remporta le grand prix de l’Exposition
internationale d’art religieux en 1909.

« Et voici que, pour la première fois
depuis près de deux mille ans, un oeil humain
voyait ce corps, cette ineffable Face avec
les yeux fermés, endormi et pourtant
effroyablement éveillé, mort mais conservant
des signes vifs de souffrances surhumaines,
des traces d’un cruel martyre ».
Hans Scholl,
protestant, résistant au nazisme,
exécuté en 1943, à l'âge de 25 ans.

EX15-0003

Fiche technique

Nombre d'affiches par exposition
7
Hauteur
100
Largeur
70

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