

Pier Giorgio avait tout pour être un blessé de l’amour, un triste gars, un éternel complexé. Pourtant, il traversa le début du XXe siècle comme une avalanche de joie et de charité. Jean-Paul II, lui-même, qui le béatifiera en 1990, avouait avoir été bouleversé par le témoignage et la vie intérieure de cet étudiant que la maladie a fauché à 24 ans.
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